Richard Sédillot, avocat et militant abolitionniste, s’inscrit dans la lignée morale de Robert Badinter. Porte-parole de l’association ECPM (Ensemble contre la peine de mort), il agit pour que l’abolition devienne une réalité mondiale.
Son engagement a permis, par exemple, l’interdiction en France de l’exposition controversée Bodies, qui présentait des corps humains plastinés d’origine douteuse.
Pour Sédillot, la défense de la dignité humaine est un combat sans frontières, prolongeant celui de Badinter dans un contexte mondial où la peine de mort reste encore appliquée dans près de 50 pays.
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